- Ce cher Tranxenne. Des lustres qu'on ne l'avait vu. Vous n'avez pas changé.
- Dites donc mon vieux ça devient n'importe quoi ici. C'est un véritable zoo votre mairie. Faites-moi le plaisir de virer ces marins. Personne n'a jamais parlé de marins. Je vois pas ce que des marins viennent foutre ici. A 200 bornes de la côte. C'est un monde ça tout de même. Et baissez les yeux quand je vous parle.
- La vache on va se les faire. - Ouais, qu'est-ce qu'ils vont prendre. - Ca leur apprendra à se foutre de notre gueule en permanence. - C'est vrai que depuis cette guerre contre la Suisse, ils ont pas arrêté. - Hé ! Regardez ! Ce serait pas Samuraï Santa là-bas ? - Ah putain, mais ouais c'est bien possible. - Qu'est-ce qu'il tient dans sa main ? (...) - C'est... C'est un bâton ! Nom d'un Pick-up, c'est Santa avec un énorme bâton ! - Oh merde, oh merde, oh merde. - Marche arrière toute ! - Peux pas chef, le vent est contre nous. - Aïe aïe aïe quelle tuile. - C'est pourtant pas encore Noël, merde. - Moi j'ai déjà fait ma liste, chef. D'ailleurs si j'avais su, je l'aurais apportée. - Ferme-la, Bill. - Bon, écoutez. On va se faire passer pour des touristes, d'accord? Surtout ne lui dites pas qu'on est là pour les bâtons. - Si seulement John était avec nous.
- Allez quoi, allez-y franchement... - Mais j'essaye, monsieur l'agent. - Vous allez souffler dans ce ballon, oui ou merde ? - Pffffffff..... Pfffffffffffffffffffffff...... - Houlà, je sais pas ce que vous avez bu mais vous êtes mûr pour le poste. - Mais, mais enfin je ne comprends pas monsieur l'agent. - Tututut, vous avez vu la couleur du ballon ? C'est affligeant. Veuillez descendre de votre véhicule s'il vous plaît. - Bordel mais... Bon, Jean-Claude, tu continues sans moi. Pas question d'abandonner la course. - Quoi ? Ah mais non, j'ai aucune idée d'où ils peuvent être, moi, ces putains de bâtons. - Courage Jean-Claude, pense aux filles du Père Noël.
Il est bien certain qu'aucun pays du monde ne peut se targuer d'avoir d'aussi beaux bâtons que la Russie soviétique. Aussi, dès l'annonce de la disparition des "Beaux Bâtons de Russie", les nations diverses dépêchèrent leurs guerriers les plus accomplis pour se lancer, à l'image de John Rambo, dans une lutte insensée mais télégénique. La grande Quête des Bâtons a commencé.
Le Japon, prêt à tout pour du bâton, a envoyé pour le représenter Samurai Santa en personne.
La participation de Samurai Santa à cette quête dont on ne sait pas très bien si elle tient de la guerre ou du sport, cette participation donc fait polémique. Le Groënland proteste vigoureusement. Ayant accueilli Santa sur son territoire durant des siècles, le froid pays pensait pouvoir compter sur ses compétences pour cette épreuve. L'appel du Bushido a été le plus fort.
Le Lama Pema, plus connu sous le nom de Rambo jaune, est bien entendu de la partie. Il est d'ailleurs l'un des tout premiers à s'être lancé à la recherche des Bâtons Rouge.
Lama Pema ici en photo avec Samurai Santa.
La présence de ces deux titans dans la course aux bâtons nous promet un spectacle superbe. Toutefois, ils ne seront pas seuls, car s'ils furent les premiers à se lancer à la recherche des bâtons perdus, il fûrent très vite rejoint dans cette aventure par de nombreux fans de Stallone dans son plus grand rôle.
"Adriennnnnne !" Les Suisses ont encore tout compris.
De brillants reporters ont marqué le terrain. Afin de faciliter la tâche des concurrents, diront certaines mauvaises langues.
D'après nos sources et à première vue, il semblerait que les filles du Père Noël détiennent quelques-uns des fameux bâtons (voir photo ci-dessous), ce qui relance la polémique à propos de la présence de Santa dans la course. Le vieux barbu est accusé de tricherie et même traité de communiste par certains aigris. Sans en arriver à de telles extrémités, nous ne pouvons qu'augurer du favoritisme que les filles de Santa peuvent déployer à l'envers de leur papa chéri. En tout cas les filles du Père Noël aiment la jupe courte. A moins que ce ne soit des Suisses. Ou des Japonaises. Peut-être même des soviétiques. On ne peut pas vraiment savoir en fait. Le doute plane.
Cette manie de s'habiller en rouge.
Pas sûr de même qu'il s'agisse d'authentiques bâtons de Russie. Nos reporters ont pu se tromper, reluquant les guiboles plutôt que les bâtons. De plus les contrefaçons sont nombreuses et tout le monde y va de son bâton. On en croise tous les jours de plus ou moins tristes exemples.
Au Bangladesh, on reste ancré dans la tradition millénaire du bâton à fracasser la gueule.
Evidemment cela incite à toutes les excentricités et la surenchère est de mise dans le monde du bâton.
Faut toujours qu'il y en ait un qui fasse le malin.
Pourtant, même chez les non-Russes ou fort peu soviétiques, on trouve quelques valeurs sûres en la matière.
Le bâton de berger est parmi les plus demandé.
Ce fait authentique ne doit pas nous faire oublier la triste réalité faite d'exagération, de beauferie et de ridicule.
Disqualifié ! Bâton non-réglementaire. De plus, je rappelle que le port de la jupe est interdit. Sur ce, il est l'heure d'aller déjeuner. A vous les studios.
John Rambo est-il un film anti-guerre? Bonne question. Les précédents faisaient l'apologie de l'efficacite des bérêts verts, de l'homme-arme, et exhaltaient des valeurs bien américaines. Surtout le 2 et le 3, des films de propagande en somme.
Devinez où se trouve le bâton.
Alors pour répondre à la question posée, je vais dire non, pas vraiment. Même si la violence étalée reste jouissive, le film tient plus de la quête personnelle de John (on peut se tutoyer, John?) qui doit s'accepter en tant qu'arme (et donc en tant qu'outil) pour trouver la sérénité et donner un sens à son existence, qu'à un film qui veut faire passer un message.
"Bordelovitch camarade Youri, nous allons manquer de bâtons!"
Car en fait, tout au long de l'épopée Rambo, John (on se sent plus proche de lui lorsqu'on l'appelle par son prénom, tu trouves pas John?) n'a de cesse d'exprimer son incompréhension face à la guerre du Viêtnam, son rôle, le but du conflit et son coût humain - Rambo (enfin, John) est, rappelons le , le dernier survivant de son unité. Il est un outil perfectionné, et personne ne lui demande de savoir. Rambo incarne le sacrifice, et par ce sacrifice Rambo exhalte la chrétienté et joue le rôle du Christ guerrier.
"Qu'est ce qui faut pas entendre comme conneries...Bon, où ai-je bien pu laisser ces foutus bâtons?"
C'est cette mise en perspective permanente de sa propre personne qui donne un sens à la série, et en particulier le dernier épisode, qui pousse Rambo à aller plus en avant dans l'horreur, et par conséquent dans sa démarche d'abnégation. Mais contrairement au Christ, il ne renonce pas à la vie- le sacrifice ultime. Il décide de retourner chez lui, aux States, là où les burgers sont frais et où les femmes sont girondes. "La boucle est bouclée", John Rambo s'est accompli en tant qu'homme à part entière: il n'est plus un outil, il est maître de son destin.
"Tovaritch, qu'est ce que tu penses de ce bâton?"
Le sentiment anti-guerre qui se dégage de John Rambo (le film, et par extension la série), vient du fait que la guerre, c'est pas joli, enfin si mais en fait non, ca fait des morts et tout c'est l'horreur donc forcément voir toutes ces horreurs nous poussent à croire que l'on nous présente un pamphlet anti-guerre. Alors que ca serait quand même dommage de ne pas voir des bonnes scènes de baston dans Rambo. On pourrait même croire que le message du film pourrait être: "La guerre c'est cool, ca permet de faire plein de films."
"Tovaritch Youri, le parti aimerait savoir ce qu'il est advenu de tous nos beaux bâtons soviétiques..."
Le mur de laine de briques: des briques, de la laine et des débats bien torchés.
Ouais bon ben j'm'appelle pas Esamurai pour rien, et c'est l'heure d'étaler ma culture martiale comme on étale ces derniers grains de coke pour son rail du matin.
"Dans un autre registre (celui-du son), les maîtres Kung-Fu Chinois connaissaient le Kiaï, le cri qui tue."
Conneries!
1/ le Kiaï, ça n'a rien de Kung Fu, et rien de chinois. C'est un concept (et un mot) Japonais, qui notamment est utilisé dans le Bujutsu / art de la guerre japonais.
Ki = esprit aïe = aïe j'ai mal. ou bien "conentration de". Donc Kiaï = concentration desprit.
Ouais bon bref vous parler a n'importe quel spécialiste d'arts martiaux ils vous parleront de concentration avant le coup, d'explosion d'énergie, et même certains dégénéré du cris qui tue... Ha laissez moi rire. Vous prenez une machine a remonté le temps et un Samouraï vous dira:
"ouais le Kiaï, ben en gros 1/ ca soulage de gueuler quand on est sous pression, ca libere les tensions liés au combat et ouais voila quoi, ca mdonne la patate".
Retour vers le futur: et parlons a genre, un mec des forces spéciales, et il vous dira: ouais le Kiaï c'est un peu le concept de "pattern interuption" avant l'heure. Vous cassez le train de pensé d'un mec. Par exemple: tu sais qu'un mec s'apprête a te cogner/flinguer a bout portant parce qu'il ne parle plus qu'en langage monosyllabique, postillone et (si ta 10/10 en vue) ces pupilles ce dilates... Donc la tu lui demande "t'as pas l'heure" en meme temps que tu le cogne dans la machoire (pour les brutes au biceps d'acier). Sinon tu lui plantes tes deux doigts dans les yeux et t'enchaines avec une pointe de chaussure dans les burnes).
Ou bien en situation plus médiévale, en sword fight, tu interromps / freine le mouvement de l'autre en gueulant comme un déjanté (kiaï par exemple) et en toi même attaquant ton adversaire avec un geste soit plus court (au mieux) ou bien de même distance mais plus rapide (vu que le kiaï devrai ralentir ton adversaire) afin de le planter avant que tu te face trancher.
Bref, le Samouraï il renchainerai en disant "ouais en fait cest un peu le cri qui tue ouais. Si on voit les choses comme ca".
Ouais. Le coup du trou noir créé par un accélérateur de particules c'est quand même très peu probable. Selon Nima Arkani-Hamed de l'Institut pour la recherche avancée de Princeton : "Le grand collisionneur de hadrons reproduira des réactions analogues à celles qui se créent cent mille fois par jour et de façon naturelle lorsque les rayons cosmiques pleuvent sur l'atmosphère. Pourtant, jamais aucun trou noir ne s'est créé". Mais ça reste complétement dingue et assez flippant. Dans la même rubrique 'on vit dans un monde de fous' :
"The world of hacking has achieved another milestone when a team of culprits managed to attack an online forum of epileptics, using Java script pop-ups of seizure inducing imagery. They must have thought it very funny."
L'arme du crime.
Bon faut vraiment être de sales cons pour faire un truc pareil. Apparemment il n'y a pas eu trop de conséquences mais dans le pire des cas ça aurait pu être une hécatombe. Cet article en parle plus longuement.
Ca se rapproche de l'hypothèse du Basilic de Langford qui déclare que si le cerveau est assimilable à un ordinateur, il y a le moyen de le faire crasher en lui envoyant des informations nocives. Ca peut-être une donnée, un son, pourquoi pas une image. En même temps, ce concept 'd'info qui tue' n'est pas nouveau : dans la Torah il est dit que la connaissance du nom de Dieu est interdit aux hommes sous peine de mort ou de folie. Dans un autre registre (celui-du son), les maîtres Kung-Fu Chinois connaissaient le Kiaï, le cri qui tue. M'étonnerait pas qu'il soit possible de créer des modèles d'images qui fassent à n'importe qui l'effet que font sur les épileptiques le genre de dessin qu'on voit en photo. Alors se répandra un nouveau genre de terrorisme, inauguré par les pirates dont il est question ici : L'attentat par l'image. La question est : pourquoi ce genre de pattern déclenche de telles réactions ? Incapacité du cerveau humain à assimiler ces données ? Pourquoi ? Ce type de dessin n'est pas "compliqué". Il donne un peu le vertige, mal à la tête, on dirait que ça bouge tout seul. En cas de danger, le cerveau pourrait simplement bloquer l'info et remplacer l'image par une zone noire, non-visible. Autre chose alors ? En tout cas ça donne pas envie d'être épileptique tout ça.
2012 More fighting in Iraq. Somalia in chaos. People in this country can’t afford their mortgages and in some places now they can’t even afford rice.
None of this nor the rest of the grimness on the front page today will matter a bit, though, if two men pursuing a lawsuit in federal court in Hawaii turn out to be right. They think a giant particle accelerator that will begin smashing protons together outside Geneva this summer might produce a black hole or something else that will spell the end of the Earth — and maybe the universe.
Jérémy Martinez avait 19 ans quand il a été retrouvé inanimé dans sa cellule de la maison d'arrêt de Valence (Drôme), mardi 4 mars. Un suicide, a d'abord dit l'administration pénitentiaire quand elle a prévenu la famille. Impossible, ont immédiatement rétorqué la mère et la grand-mère du détenu. Pour elles, il s'agit d'un meurtre - le corps présentait des traces de coups, notamment dans le dos et au niveau du cou. Le jeune homme avait un sac plastique scotché sur la tête.
Le monde a besoin de stratèges pour libérer l'univers de la menace Zerg. Pour les combattre efficacement il faut apprendre à les connaître, parler leur langue, goûter leurs plats nationaux, danser leurs danses traditionnelles, regarder leurs émissions télé et sauter leurs fem... euh connaître leur histoire. Il faut aussi connaître leur manière de combattre. Cette vidéo en 2 parties sur le gameplay des zergs le permet. Cliquez ici et là. A regarder sous la couette en serrant très fort son ours en peluche.
Edit : Bon, en fait de gameplay il s'agit surtout d'un début de partie joué par sAviOr, le célèbre Zergo-coréen (même de deux débuts de partie parce qu'il se plante la première fois contre les Protoss ahahah). Ca donne quand même une idée du dégât que font certaines unités.
Michael Goldman, le fils de Jean-Jacques Goldman, est un type plutôt cool. La preuve : "Je me suis couché à 3h30 hier pour finir ma partie de Civilization".
Il dit aussi qu'"avoir Jean-Jacques Goldman comme père, c’est comme avoir une bite de 30 cm, ça a des avantages et des inconvénients." Pas aussi cool que la précédente et limite indécente mais bon, passons. Une enfance traumatisée explique sans doute cette vulgarité. Sa citation préférée c'est : " Manger, dormir et faire caca justifient largement le fait de s’emmerder le reste du temps. " mais il n'a pas dit de qui c'était, sans doute Wellington ou Bernard Lavilliers.
Bon ça suffit avec les citations, sachez seulement que Michael aime surtout le rap et l'électro, a monté sa maison de disque : MyMajorCompany (MMC), ce qui est un peu facile quand papa fait de la zique, qu'il joue au poker et aux jeux vidéo (mais il ne précise pas quelle est sa race favorite à Starcraft, gageons qu'en homme de goût il joue Protoss).
Voilà un post qui n'a pas vraiment d'intérêt au final c'est juste le fait que le fiston Goldman parle de Civilization dans une interview qui m'a fait tripper. Je pourrais balancer une photo du keum mais ça n'aurait pas non plus un grand intérêt, quoique comme ça si vous le croisez dans la rue vous pourrez lui proposer une LAN.
Allez vieux fais pas la gueule. Tu sais pourtant que c'est ta chance. Le cadeau de ta naissance.
Le post qui suit est très sèrieux. Ca faisait longtemps, alors je préfère prévenir.
Réflexion sur l'art (dans Ulysse / J. Joyce)
"L'art ne doit nous révéler que des idées, des essences spirituelles dégagées de toute forme. Ce qui importe par-dessus tout dans une oeuvre d'art c'est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. La peinture de Gustave Moreau est une peinture d'idées. Ce qu'il y a de plus profond dans Shelley, et les paroles d'Hamlet, mettent notre esprit en contact avec la sagesse éternelle, le monde des idées de Platon. Tout le reste, spéculations d'écoliers pour écoliers."
Aujourd'hui sur le site du Monde je tombe sur un article sur Jérôme Kerviel (le gars qui a fait perdre des milliards a la S.G.). Je bloque sur le titre: Jérôme Kerviel, entre Kafka, Camus et Marx. Merde alors, voilà un sacré mix!
"Je bande donc je suis... Non merde c'est pas ça... Je spécule donc je suis... hmmm c'est pas ca non plus... Je reste neutre donc je Suisse... pas mal... C'est quoi déjà le délire sur les madeleines? Mon royaume pour une madeleine? Non... Le travail est l'aliénation de la madeleine par Proust... putain j'y arriverai jamais... Bon, optons pour: 'Proust! j'ai fais Kafka dans ma culotte', ça en jette comme titre."
Bon, citons le site du Monde pour mieux cerner la chose:
La touche de Kafka vient du fait que la Société générale n'aurait pas suivi la bonne procédure, qui prévoit un entretien préalable avant d'envoyer la lettre de licenciement. De fait, M. Kerviel avait bien été interrogé pendant des heures sur ses pertes, mais cela était différent.
Comme l'antihéros meurtrier Meursault, dans L'Etranger, M. Kerviel a répondu à un monde hypocrite par un geste destructeur et autodestructeur.
Mais un penseur marxiste pourrait placer les méfaits de M. Kerviel dans la noble tradition des travailleurs qui dénoncent la fragilité et l'hypocrisie des valeurs bourgeoises.
Pour plus de détails, rendez-vous sur l'article en ligne du Monde: * click *
Enfin, ne boudons pas notre plaisir, et découvrons le commentaire de Francis N. sur cet article: "Jérôme Kerviel a peut-être sonné le glas du capitalisme. Si c'est le cas, ce que j'espère, il faut le récompenser. Car enfin, la grande misère du monde est plutôt due à la cupidité qu'à l'altruisme."
Le mur de laine de briques, c'est d'abord et avant tout un chouette repère de coquins. En coquins qui se respectent, les mureux postent sur tout et n'importe quoi, donc il devient vite difficile de retrouver les posts qui nous ont ému aux larmes, nous ont fait rire, ont changé notre vision du monde ,de la vie, de l'Univers et du reste. D'où les labels que nous pouvons insérer en bas de post. Ainsi, il suffit de cliquer sur les dits labels (en fait, des libellés), pour instantanément retrouver vos posts préférés et revivre ces émotions inoubliables. Cela tiendra évidemment jusqu'à ce que les changements climatiques nous poussent à nous entre-dévorer. Bien. Maintenant, si vous connaissez un peu le site, vous vous rendrez vite compte que les labels foireux et débiles se multiplieront. Tout cela vise, bien évidemment, à améliorer votre qualité de vie, chers lecteurs, et je sais que vous êtes nombreux à nous lire.
Dans une interview à PBS, Ted Turner, le fondateur de CNN, nous remonte le moral: le réchauffement climatique pourrait amener les hommes à devenir cannibales, vu qu'avec une moyenne de 8 degrés en plus d'ici 30/40 ans, les récoltes auront du mal à s'épanouir. Donc forcément, la meilleure solution sera de bouffer son voisin.
"If steps aren't taken to stem global warming, "We'll be eight degrees hotter in 30 or 40 years and basically none of the crops will grow," Turner said during a wide-ranging, hour-long interview with PBS's Charlie Rose that aired Tuesday.
"Most of the people will have died and the rest of us will be cannibals," said Turner, 69. "Civilization will have broken down. The few people left will be living in a failed state — like Somalia or Sudan — and living conditions will be intolerable."