Sunday, May 16, 2004 :::
 

::: posted by Tranxenne at 6:04 PM (0) comments

 

Je vais quand meme essayer parce que ca m'intrigue cette histoire ...



L'explication la plus rationnelle viendrait du fait que Tonton georges (je n'invente rien, l'url de l'image mentionne un certain Tonton georges, rien a voir a mon avis avec le fameux chanteur Tonton David, meme s'ils portent le meme nom de famille), un jour de beau temps vint pour rendre visite a sa belle, qui, surprise par le Toc Toc sur la porte laissa choire la bombe nucleaire que lui avait offerte son ex mari, litteralement passione par le sujet. Tonton georges, vous l'aurez compris, cuisinier de profession, laisse echapper un 'Mince alors ca c'est de la tocque' a la vue de l'etrange fumee champignoneuse. Le plus amusant dans cette histoire est que, la fameuse belle entreprenait de ranger sa demeure lorsque TTG (tontongeorges) frappa a la porte, alors elle s'exclama apres l'explosion, 'Ca tombe bien je n'avais vraiment pas envie de faire le menage!'. La vie est belle quand meme ...

::: posted by Lapsus van de Zloot at 5:00 PM (0) comments

 

Vous n'etes pas a une blague pourrie pres quand meme ...



Nous parlions de bizarrerie anatomique, alors jai pense quil serait de bon ton de vous proposer une explosion anatomique. Avouez qu'il y a de quoi mourir de rire! La legende veut que les fameuses tocques de cuisinier ont ete inspirees par le galbe genereux du champignon nucleaire. Quant a cette etrange ortographe, tocque, je ne saurais fournir d'explications serieuses.

::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:57 PM (0) comments

 

Puisqu'on en est a s'emerveiller sur les expressions francaises...



Qui a eu l'idee de genie, un jour, de s'exclamer " Rodolphe, cette robe te va comme un gland!" ?

::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:54 PM (0) comments

 

Soit dit en passant, voila une bien etrange expression ...



Je ne sais pas d'ou ca vient, mais je pense que 'Comme il se doigt' est issu de la bizarrerie anatomique ci dessus. Avouez qu'il a de quoi flipper.

Par ailleurs, oserais-je vous conseiller de vous ruer sur ce tres joli article, tres adequate par exemple, lors de demandes en mariage:

::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:49 PM (0) comments

 

Il en est un parmi les rois du titre ...

... et c'est Elton John en personne qui illustre nos convictions sur le titre. Appelons le Sir Elton John comme il se doit. Evidemment, seureltonnejonne n'est pas representatif de l'impact d'un titre long, vu qu'il ne l'est pas, long (le titre pas Elton).

Bel effort cependant.


seurailtonnejone en personne

::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:44 PM (0) comments

 

C'est parti je vais faire un titre long, vu qu'il est de notoriete publique que le titre long est un gage de qualite. C'est dommage d'un certain cote, ce soudain engoument pour les titres longs alors que d'ordinaire nous les reservions pour les occasions extraordinaires, histoire d'en mettre plein la vue au pote. Resultat j'en perds mon ortographe, je ne mets pas de x a au ni de s a pote. Non ce n'est pas du langage crypte les amis, juste une carrence de ponctuation. J'ai lu quelquechose sur un type qui etait a fond dans la ponctutation, mais je ne rappelle plus quoi. Pas grave. Alors, partant du principe qu'un titre aussi long soit il a pour but de titrer, je vais pas tarder a titrer. Probleme : comment titrer alors que la , en ce moment meme, je suis en train de titrer. Dommage pour les pointeurs. Venons en a l'essence du titre afin de vous fournir quelques explications sur ce post. Ce qui est quand meme con dans l'absolu vu que ce n'est qu'une image... Mais quelle image ! Les champis, les celebres champis, qui doivent avoir pas loin de 6 ans aujourd'hui (vu le nombre de bandes par rapport au nombre d'annees ecoulees, je me passerai de tout commentaire relatif aux questions de productivite et de rentabilite). Hommage vibrant.

::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:33 PM (0) comments

 

Eau douce ou eau de mer?

Selon mes renseignements il existe deux types de torture, les organismes internationaux veillent particulierement a defendre la torture d'eau de mer. Meme le point et l'express n'ont pas ose faire cette blague, quelle bande de pisse-vinaigres !


Je ne me suis pas creve j'ai pris une photo au hasard et la voila sur le mur pour illustrer ma phrase. En plus c'est un torture d'eau douce visiblement...

::: posted by Lapsus van de Zloot at 12:30 PM (0) comments

Saturday, May 15, 2004 :::
 

Un article que j'ai trouvé dans le Point, pour étoffer mon propos, me donner bonne conscience (vous voyez les gars, c'est pas moi qui le dit, c'est le Point). Je devais aller boire un verre vous allez me dire, et c'est vrai, mais non, pas ce soir, c'est triste. Je fais des putains de titre là dites donc. C'est bien ça, les longs titres font les bons articles.



Le tabou de la torture a sauté

(c'est le titre du Point. Evidemment avec un titre aussi court on se dit que l'article doit être pourri, mais non.)

Les EU, comme tous les pays au monde,sont soumis au respect des lois de la guerre. La 3ème convention de Genève interdit explicitement la torture sous une forme on ne peut plus nette: "lors de leur capture, les prisonniers ne pourront subi aucune toture ou contrainte pour les forcer à livrer des informations." Après les attentats du 11 Sept., certains militaires et agents des services de renseignement américains ont cependant estimé que le recours à ces procédés serait désormais justifié par l'énormité des enjeux.
Curieusement, ce sont des intellectuels qui, les premiers, ont fait sauter le barrage idéologique. Richard A. Posner, juge et professeur de droit à l'université de Chicago, n'a pas hésité à écire, en sept 2002: "Si la torture est le seul moyen d'obtenir les renseignements nécessaires pour prévenir l'explosion d'une bombe nucléaire à Times Square, alors elle doit être utilisée, et elle le sera." (Pas sûr qu'une bombe atomique dans une poubelle de Times Saquare passe inapercue )
Les militaires américains ont une formule pour qualifier les entorses aux lois de la guerre. Ils appellent cela la "flexibilité opérationnelle" (Perso j'aurai plutôt appellé ça "Kicking arses"), et l'ancien chef du counterterrorism center de la CIa, Cofer Black (2 sucres pour moi, merci), est explicite: "après le 11 septembre, on ne prend pplus de gants." Si des fonctionnaires américains répugnent à ce sale boulot, d'autres pays auxquels des prisonniers ont été remis (Syrie, Pakistan...) ne s'embarassent pas de scrupules. Un anonyme cité en Décembre 2002 (Déjà!!!) dans le Washington Post précisait, dans un langage fleuri: "Si on ne leur fait pas vider leur putain de sac, on les envoie dans d'autres pays qui leur feront vider leur putain de sac. Si on ne viole pas les droits fondamentaux d'un individu de temps en temps, on ne fait sûrement pas son boulot." (Les personnes choquées par ce langage "fleuri" peuvent bien sûr remplacer les "putain" par des "Saddam")
Tout était évidemment censé demeurer secret, et c'est la publication de photos explicites qui a déclenché le scandale. Le fait est indiscutable: la torture est utilisée de manière routinière dans l'armée américaine. En autorisant ceux qui interrogent à se placer au-dessus des lois internationales, en instaurant des règles de détention extrajudiciaires dans des centres comme celui de Guantanamo ou d'Abu Grahib, l'administration Bush a ouvert la voie à tous les excès.
Elle ne s'en est pas moins trouvée en phase avec son opinion publique et même, jusqu'à récemment, avec une bonne partie de la presse... Le général Paul Aussaresses, qui a revendiqué l'usage de la torture durant la guerre d'Algérie, n'a-t-il pas été complaisamment interviewé par CBS pour expliquer le pourquoi de cette pratique?
Plus étonnant encore: on compte de vrais défenseurs des droits de l'homme parmi les partisans de la torture, et un homme aussi "libéral", au sens américain du terme, qu'Alan Dershowitz, avocat et professeur de droit à Harvard, qui se bat depuis plus de quatre décennies contre la peine de mort, a pu réclamer dans un livre récent que la torture soit institutionnalisée, sous le contrôle de la justice, qui délivrerait des "mandats de torture"."Je pense à une torture non mortelle, comme une aiguille stérilisée sous les ongles, ajoute Dershowitz. Bien sûr, cela serait contraire à la Convention de Genève, mais vous savez, d'un bout à l'autre du monde, il existe des pays qui violent les accords de Genève. ils le font en secret, comme l'ont fait les Français en Algérie. Si nous en arrivions un jour à cette extrémité, je pense que nous devrions agir de façon responsable et ouvertement, et non adopter la méthode des hypocrites."
Les actes qui se sont produits en Irak ne sont donc ni des dérapages, ni des incidents isolés. C'est le verrou de la torture qui a sauté. En vertu du principe bien connu selon lequel la fin justifie les moyens.

Jean Guisnel

Evidemment, quand on lit l'article, on réfléchit, alors ça va. Parce qu'après, on peut toujours aller voir des photos de tortures sur le Net. On tombe sur des trucs comme ça:



Les plus trash que j'ai trouvé provienne, ô surprise, des archives de l'Algérie. Et encore on a du bol, elles sont en noir et blanc



Evidemment ça calme. On réfléchit plus, on se met à penser.


Voir aussi un article de l'Express

::: posted by Tranxenne at 5:36 PM (0) comments

 

Bon, je voulais relire, nuancer mon propos mais qu'est ce que vous voulez, il fait beau j'ai envie de sortir alors tant pis, je jette une brique dans la mare, une goutte d'eau sur le mur, et puis je vais boire un verre au soleil (et dans un monde parait, tous les gens concernés dans ce post se retrouveraient à une terrasse de café pour boire une bière ou un chocolat chaud plutôt parce que dans un monde parfait bien entendu il n'y aurait pas d'alcool)


Je déplore chez Colombani cette tendance à se poser en grand moralisateur qui seul peut remettre l'amerique dans la voie de la sagesse. L'arrogance de l'administration Bush est réelle mais lui opposer un "nous sommes tous non-américain" me semble faire le jeu de son manichéisme. Remarquez, je doute que Cheney et consorts s'alarment des éditos enflammés d'un français moustachu, et ils devraient peut-être, parce que Le Monde au niveau impact c'est pas rien.

-Dis donc , Georges, t'as vu? On s'est encore fait incendier par Colombani
- Yeah, Donald, j'ai vu. C'est qu'un putain de frenchie de merde.
- Ok, mais il a Le Monde derrière lui
- What? Putain d'enculé de français de merde.

La France se targue de sa connaissance du monde arabe, mais cette connaissance s'estfait dans le sang et vu le passé colonial de la France, je nous trouve vraiment mal placé pour faire des critiques.

En France, on attend toujours que les tortionnaires de la guerre d'Algérie soient jugés, 40 ans après les faits. Le seul à avoir eu un procès, c'est Aussaresses, et coe n'est même pas pour ses actes, c'est pour ce qu'il a écrit dans son bouquin ou il justifie l'emploi de la torture. Sumum de l'hypocrisie de notre belle République.

Pendant ce temps, on gueule sur les Américains et le comportement des geoliers d'Abu Grahib. Effectivement ce qui se passe là-bas est carrément horrible, je pense notamment à certains prisonniers qui, pour peu qu'ils soient un peu myope (ou cagoulés depuis trop longtemps), n'ont même pas du se rendre compte du changement de propriétaire.

Seulement, aux USA, l'affaire est déjà devant la Cour Suprême, les tortionnaires passent en jugement et Rumsfeld a failli perdre sa place. Même si bien sûr les soldats qui passeront en jugement ne sont que les exécutants, qu'ils sont encouragés par les services de renseignements et que Donald s'accroche à sa place, les gens là-bas réagissent.

On peut dire ce qu'on veut de Bush et de son administration, mais la démocratie américaine marche.

Certains penseurs américains (et pas seulement des neo-cons) préconisent d'institutionnaliser la torture en temps de guerre. Là on ouvre de grands yeux. Mais ces pratiques ont toujours eu lieu et aucune loi ne les a jamais empêchées. Le besoin de renseignements a toujours autorisé les sévices les plus dégradants (pour la victime comme pour son bourreau).

Comme m'a dit un jour mon grand-oncle qui a fait l'Algérie et l'Indochine: "Si 15 copains peuvent être sauvés par la torture d'un prisonnier, la véritable horreur ce serait de ne rien faire."

::: posted by Tranxenne at 1:45 PM (0) comments

 

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3208,36-364816,0.html

::: posted by Esamurai at 10:53 AM (0) comments

 

bordel jai vu la Ruda Salska en concert hier. C O M P L E T E M E N T arraché... cété de la balle de chez balle. ca cest fini a discuter avec le chanteur et des mec de je ne sais plus quelle radio. bien cool.

bon leur dernier album est un peu soft, ok... mais l'art de la joie reste un de mes CD favoris.

bon jpars sur paris la, jvais mater les championnats de france de savate. Cool. Ils passent aussi sur eurosport ce soir, si vous voulez voire du combat esthétique franco-français....

::: posted by Esamurai at 10:24 AM (0) comments

Friday, May 14, 2004 :::
 

# KultureZik #


-=[Relationship of Command At the drive in 2000]=-

Le genre de rock qui met a cran n'importe quel accro du xanax. One Armed Scissor, tube incontournable de l'album, est le genre de chanson qui rend invulnerable pour peu que l'on prenne la peine de beugler avec le chanteur. Enfin bon bref, en ce moment je ne supporte pas le rock homo donc autant dire que ATDI ca degage quand meme plus serieusement que Limp Biscuit petit lu et autres types qui font genre ils jouent du rock qui conteste et qui est violent. ATDI ca conteste dans les tripes et ca violente la tete serieusement.

Labels: kulturzik

::: posted by Lapsus van de Zloot at 12:10 PM (0) comments

Tuesday, May 11, 2004 :::
 

Les méthodes d'interrogatoire des Forces spéciales britanniques en Irak

LONDRES (AFP) - 10/05/2004 08h57 - Un ancien officier britannique cité
samedi par le Guardian affirme que les techniques d'interrogatoire utilisées
par les forces spéciales (SAS) sont largement répandues et correspondent aux
traitements dégradants auxquels les détenus irakiens seraient
systématiquement soumis.

Sous couvert de l'anonymat, cet ancien officier des SAS rentré d'Irak la
semaine dernière affirme qu'en Irak, les "gardiens de prison utilisent les
techniques R2I", dites de "résistance aux interrogatoires".

Selon le Guardian, la plupart des forces spéciales britanniques et
américaines reçoivent une formation R2I pour se préparer à résister "aux
techniques de dégradation" auxquelles elles sont susceptibles d'être
soumises par l'ennemi en cas de capture.

Humiliations et dégradations sexuelles entrent dans le cadre des méthodes
R2I utilisées par les forces spéciales et "enseignées de part et d'autre de
l'Atlantique, sous le slogan 'prolonger le choc de la capture'", précise le
Guardian.

Interrogé sur ces informations, un porte-parole du ministère britannique de
la Défense (MoD) a déclaré qu'il "ne commentait pas les activités des forces
spéciales", ajoutant que "toute activité des forces britanniques est
rigoureusement conforme aux conventions de Genève".

Les spécialistes du renseignement militaire britannique et américain, révèle
également l'ex-SAS au Guardian, ont été formées dans un centre de services
d'interrogatoire conjoint à Ashford, dans le Kent (sud-est de l'Angleterre).

"L'ensemble de l'expérience est horrible", relève l'ancien SAS, ajoutant:
"c'est extrêmement perturbant".

Des personnels féminins étaient utilisés pour "ridiculiser sexuellement les
prisonniers", précise le journal, notant que lors des sessions de formation
britannique, les femmes étaient soumises à des "railleries lesbiennes".

Les techniques R2I prévoient notamment le maintien des prisonniers dans une
nudité absolue la plupart du temps, selon le quotidien, comme le montrent
les photos américaines de détenus irakiens dans la prison d'Abou Ghraib, à
Bagdad.

Toujours selon le Guardian, visages masqués, privation de sommeil et perte
de la notion du temps sont quelques-unes des méthodes utilisées à l'encontre
des détenus. Ceux-ci sont non seulement privés de leur dignité mais aussi de
leurs besoins humains fondamentaux tels qu'avoir chaud, boire et manger.

"Le réservoir de connaissances en matière de techniques d'interrogatoires
est constitué d'anciens SAS qui se font embaucher comme entrepreneurs privés
en Irak", affirme encore l'ex-SAS, selon qui ces derniers "font (ensuite)
venir leurs vieux copains".

Un certain nombre d'entreprises fournissent ainsi des "interrogateurs" à
l'armée américaine en Irak.

Les détails fournis par l'ex-SAS correspondent à ceux contenus dans le
rapport rédigé par le général américain Antonio Taguba et étiqueté
"secret/pas de diffusion à des étrangers".

Le rapport, dont des extraits ont été publiés lundi par le Los Angeles
Times, relève toute une série de sévices: des soldats américains ont
"frappé" et "sauté sur les pieds nus" des prisonniers, "utilisé des chiens
sans muselière pour faire peur aux détenus", "sodomisé un détenu", "menacé
les détenus masculins de viol", etc.

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui a estimé vendredi que
les mauvais traitements infligés par les soldats américains aux prisonniers
irakiens étaient "assimilables à des tortures", s'est aussi inquiété des
prisons tenues par les Britanniques.

::: posted by Tranxenne at 8:39 PM (0) comments