Monday, June 28, 2004 :::
Une explication a propos de la cape transparente ( vous vous souvenez, la video ? )
L'explication se trouve donc ---> ICI <---
Voila, comme ca tout est clair.Labels: cyberpunk
::: posted by Lapsus van de Zloot at 11:47 PM
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Un site pour se marrer
Un site donc avec plein de conneries dedans :
http://www.gougoule.com
::: posted by Lapsus van de Zloot at 6:09 PM
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Pour eviter de se faire piquer son laptop gare du nord
Le sac en forme de boite a pizza !
Franchement par moment je me demande ce que les gens font de leur pognon...
::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:58 PM
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Un autre jeux video
Rentrer bourre est un sport
::: posted by Lapsus van de Zloot at 4:54 PM
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Sunday, June 27, 2004 :::
Treve de plaisanterie: ORBITER Space Flight Simulator
Grace a Radiolaire du cafard cosmique j'ai pu decouvrir ceci: ORBITER, un simulateur gratuit de vol spatial. Quel pied !
ORBITER is a free flight simulator that goes beyond the confines of Earth's atmosphere. Launch the Space Shuttle from Kennedy Space Center to deploy a satellite, rendezvous with the International Space Station or take the futuristic Delta-glider for a tour through the solar system - the choice is yours. But make no mistake - ORBITER is not a space shooter. The emphasis is firmly on realism, and the learning curve can be steep. Be prepared to invest some time and effort to brush up on your orbital mechanics background.
http://www.medphys.ucl.ac.uk/~martins/orbit/orbit.html
Quelques screenshots pour vous donner une idee du bebe :
 Il est deconseille de boire avant de prendre le volant.
 Ce ne sont pas des missiles mais les SRB. Dommage ceci dit parce que des missiles comme ca auraient de la gueule.
 Ce soft supporte meme le 16384x8192 pixel pour les texture. Ainsi ce sera plus joussif de faire le con en navette spatiale
 Le probleme avec les navettes spatiales, c'est qu'il faut constamment changer les piles.
 Meme si le graphisme du batiment n'est pas beton, je me cracherais bien dessus un de ces quatre.
 La seule difference avec la meteo est que vous n'aurez pas l'ephemeride.
 Ca doit etre marrant de percuter les panneaux solaires.
 Le soft offre la possibilite de visiter des endroits exotiques, comme ici Jupiter.
 Tres bonne idee egalement: la station V de 2001 a space odyssey
 Bref ca a l'air trippant...
These are the minimum requirements to run ORBITER on your computer:
300 MHz PC or better (Pentium, Athlon, etc.) 128MB RAM or more Windows 95/98/ME/2000/XP DirectX 7.0 or higher DirectX compatible 3D graphics accelerator card with at least 16MB of video RAM (32MB or more recommended) and DXT texture compression support. Approximately 60MB of free disk space for the minimum installation (additional high-resolution textures and addons will require more space). DirectX compatible joystick (optional) There is nothing to prevent you from trying to run Orbiter on a computer with lower specs, but the results are not likely to be satisfactory.Labels: Jeu vidéo
::: posted by Lapsus van de Zloot at 2:35 PM
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Ces artistes meconnus qui se battent pour que la musique soit rock'n'roll
Un chaleureux acceuil pour les X-Caliber !
Dommage que des jeunes gens frais et talentueux comme les white stripes ont eu l'idee de se fringuer en rouge...
The X-Caliber Rock Show is a high-energy show band formed by singer/songwriter Cameron Landers. This exciting act has emerged upon the Northern California music scene over the past few years to cater to the growing number of classic rock audiences. The show plays both large and smaller venues, to rock fans of all ages throughout the west.
--> selon le site officiel de X-Caliber.
Je vous epargne la photo du guitariste. Sans vouloir etre langue de vipere je me demande comment les guitariste gras (par gras j'entends gros) arrivent a caser un doigt sur une case. Vous me direz pour avoir un doigt aussi large qu'une case il faut etre gouteur ches Mc Donald's, mais quand meme...
Exemple typique de creation Fat Finger :
Comme quoi il y a des createurs de mode qui ne s'emmerdent pas la vie et adopte la bonne vieille Greasy Finger way of life
::: posted by Lapsus van de Zloot at 1:35 PM
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Saturday, June 26, 2004 :::
Volcano High

Nous savons que le cinéma Sud-Coréen est un des meilleurs au monde, des films comme Nom de code SHIRI ou le tout récent Murder Memories nous l'ont prouvé. Mais là Kim Tae-Gyun frappe un énorme coup avec un film déjanté qui se situe quelque part entre Dragonball Z et le collège fou fou fou. Et oui c'est possible.
 Contrôle des éléments, boules d'énergies, humour stupide, tous les éléments du manga sont là
Petit résumé de l'histoire:
Kyung Sou, jeune étudiant bêta et indiscipliné, est renvoyé pour la 9ème fois de son lycée pour avoir usé de ses pouvoirs paranormaux contre un professeur. Décidé à ne plus les utiliser, il se retrouve à « Volcano High School », le lycée de la dernière chance où beaucoup d’élèves possèdent les mêmes facultés extra-sensorielles. A son arrivée, il découvre une ambiance chaotique, des guerres de gangs entre élèves, voire même entre profs, et se veut résolument neutre. L'origine de ces conflits provient d’une rumeur persistante sur le fait qu’un élève ou un prof surdoué pourrait déchiffrer un manuscrit mystérieux et serait doté de pouvoirs infinis. Pris à parti par certains élèves, et malgré tout son bon vouloir, Kyung Sou se voit contraint d’affronter ses ennemis.
 Conseil de classe. Il est fortement déconseillé de se rebeller
Entre un héros un peu stupide, un proviseur pétomane et son adjoint complètement délirant, les profs habillés à la Matrix dispensant leurs cours de manière assez abrupte et les gangs d'élèves qui se foutent sur la gueule pour un oui ou pour un non, on peut dire que l'ensemble est assez jouissif et qu'entre deux bastons on est mort de rire devant son écran.
 Comment ça tu veux sortir avec moi? Tu m'as bien regardé?
les combats superbes sont rythmés par une musique bien trippante qui balance entre techno et hard-rock. Les expressions des personnages, hyper caricaturales, sont à mourir de rire, comme les dialogues d'ailleurs. C'est un des films les plus bandants qu'il m'ait été donné de voir depuis longtemps (même Partie de chasse en Sologne avec Zara White ne m'a pas fait cet effet là). Bon je pourrais en faire des tonnes mais ça ne servirait à rien, j'espère seulement vous avoir convaincu de mater ce film culte.
 Labels: Kulturfilm
::: posted by Tranxenne at 6:28 PM
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Friday, June 25, 2004 :::
raaaaaaaaaaaaaaah
Concernant l'affaire Dutroux : une enquete baclee , une famille de victime qui ne va pas au proces car elle sait que la verite ne sera pas dite, des enormes soupcons sur l'implication d'un (de) membre(s) de la famille royale belge (de source sure). Combien de ces tetes couronnees ont ferme leur gueule pour couvrir la famille ? Qui d'eux est implique dans ces affaires de pedophilie?
On parlait du 'frere du Roi' , en l'occurence ce serait Albert, le Roi actuel. Tout laisse croire a quelque chose de pas net au niveau royale.
Ca me degoute, un (ou plusieurs?) de ces portraits merite de figurer sur une tombe.
apres relecture je m'enflamme un brin sur les mots, mais bon dans le fond ca veut dire ce que ca veut dire. Cette histoire est dingue quand meme
::: posted by Lapsus van de Zloot at 2:04 PM
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Optical Camouflage
Ci dessous l'avis d'un des graphistes ici au taf
ça pue le montage video :
(objets bleus "isolation colorimetrique")
camera sur bras filmant d'abord sans personnage puis avec.
combiner les deux prises identiques.
déséléctionner la couleur bleu (after effect, boris, inferno)
effect speciaux filtres oil color,
et voilà!
Faut dire, j'y croyais pas vraiment.
mais fun quand meme
::: posted by Esamurai at 1:53 PM
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Thursday, June 24, 2004 :::
The Forever War - Joe Haldeman

La civilisation Tauras, dont l'humanite ne sait quasiment rien, a detruit un vaisseau terrien, alors les hommes partent en guerre. Le livre decrit le conflit vecu par le private Mandella, un heros malgre lui qui a participe a des entrainements gourmands en vies humaines ainsi qu'a de sanglantes batailles. Son veritable challenge sera cependant de revenir vivre sur terre comme simple civile. En effet, la physique des voyages spatiaux est telle que quelques mois signifient des siecles sur Terre, isolant les combattants du monde dont ils defendent le futur.
L'experience du vietnam de Haldeman est tres presente, tellement presente que le retour sur terre de Mandella m'a rememore le premier Rambo (toute proportion gardee bien entendu / et bonjour la reference!). Le traitement du temps est formidablement lie au deroulement de l'intrigue, il y ajoute une dimension insoupconnee. Haldeman decrit avec brio la corruption l'atrocite et la stupidite humaine dans toute sa splendeur: le denouement de The Forever War finit d'enfoncer le clou.
Super bouquin.Labels: Kulturbook
::: posted by Lapsus van de Zloot at 6:30 PM
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Optical Camouflage - ou Une cape elfique sur vos petites epaules, c'est possible! -
Donc je ne pige absolument rien au procede utilise pour ce camouflage, qui est impressionant car .... regardez plutot vous meme la video :
La fameuse video que vous mourrez d'envie de voirLabels: cyberpunk
::: posted by Lapsus van de Zloot at 12:14 PM
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Wednesday, June 23, 2004 :::
"Au début il n’y avait rien. C’est-à-dire que tout était blanc. On ne distinguait rien d’autre qu’un vaste océan immaculé, englobant tout. Un paysage complètement uniforme où la notion de sens n’avait aucune réalité. L’horizon avait disparu, ou bien n’avait pas encore était créé. Le ciel et la Terre portaient la même teinte absente, ou bien inexistante. Il n’y avait rien d’autre qu’eux, ils se fondaient l’un dans l’autre et se reflétaient comme deux miroirs entre lesquels rien n’existait, réfléchissant le vide à l’infini. Pas un seul arbre sur la plaine recouverte de neige, pas une percée de ciel bleu dans l’étouffant manteau de nuages gorgés de flocons en suspens. Entre les deux, le vent qui sifflait, le vent qui portait les milliers de gouttes blanches suspendues dans l’air, passant d’un miroir à l’autre, indécises, hésitantes, changeant brusquement d’avis selon que le vent leur soufflait ci ou ça, allant à l’encontre de leur propre penchant, et puis revenant sur leurs pas, ne sachant pas s’il fallait monter ou descendre, si ces mots avaient une signification, si ce choix en était un. Quelle importance cela avait-il ? Les deux univers étaient identiques. Parfaitement similaires ils eussent été symétriques si l’on avait pu distinguer l’un de l’autre, mais ce n’était pas le cas. L’espace entre les deux mondes était trop saturé de flocons blancs, parcelles d’univers détachées de leur enveloppe, atomes séparés les uns des autres, cristallisés sur leur originalité, uniques représentants d’eux-mêmes et de leur route, de leurs doutes et de leurs errances, portés par le vent mais intrinsèquement convaincus qu’ils se mouvaient d’eux-mêmes et dans la direction qu’ils avaient choisi. Quel que soit le parcours de chacun de ces flocons, quel que soit sa forme et son destin le résultat serait le même et la décision ne leur appartenait pas. Malgré les hauts et les bas, malgré les différences, les divergences et les distances, tous se refondraient tôt ou tard en une seule entité, tous s’accrocheraient à la même fin, tous s’immergeraient avec sollicitude dans ce qui s’apparentait le plus pour eux à la mort : une dimension plane, blanche et froide composée de leurs propres êtres mêlés, strictement identique à celle qu’ils venaient, un instant auparavant, de quitter. C’est ce qu’entre eux ils appelaient vie, ce qui les faisait croire important, cet état intermédiaire entre deux univers où ils se retrouvaient dissociés les uns des autres. Leur seule fierté était cette illusion d’indépendance provoquée par la course du vent. Leur individualité était source de tout leur orgueil et, battus par les bourrasques glacées, ils s’inventaient toutes sortes de justifications à leurs errements, leur ascension comme leur déclin, persuadés que leur itinéraire, leurs sautes d’humeur et jusqu’à leurs impressions étaient conséquences de ce qu’ils appelaient leur personnalité, considérée par eux comme sacrée et irrépréhensible. Leur imperfection étant cela même qu’ils révéraient comme leur vraie nature, ils ne pouvaient réaliser l’omnipotence du vent sur leurs existences non plus que leur fatale condition de chute et d’entropie, car le blizzard qui balayait l’espace se moquait bien de connaître les insignifiantes dissemblances existant entre les flocons de neige. Il les entraînait, les éparpillait, les faisait tourner sur eux-mêmes, tourbillonner ensemble dans d’impétueux ballets de sa composition. Il leur faisait parcourir des kilomètres, les élevait jusqu’aux nuages ou bien les plombait au sol, dardait sur eux ses rires glacials, offrait à d’autres son froid soutien, et puis se désintéressait, jetait bas ceux qu’il avait porté, en relevait d’autres qui n’avaient connu que la chute, poussait de longs soupirs d’encouragement ou exhalait sur eux son mépris avec la froide désinvolture propre aux démiurges par trop irréfléchis. Enfin, il les plaquait au sol, les intégrait à l’épaisse couche de neige gelée, les désincarnait et les restituait au cœur de leur univers. Les flocons hurlaient, ils ne comprenaient pas. Le drame qui se déroulait au milieu de ce monde vierge et tumultueux restait invisible car les protagonistes se cachaient derrière un rideau blanc, et il n’y avait pas d’yeux pour voir la scène. Il n’y avait que le vent et la neige, la neige et puis le vent, deux amants étourdis s’embrassant avec force et oubli. Leur étreinte était si forte qu’elle interdisait toute intrusion, tout regard, à fortiori tout jugement. Toute tentative d’ingérence dans ce maelström blanc était immédiatement sanctionnée, et la sentence exécutée, sans appel, par un impassible bourreau sans visage, sans cœur, sans même une envie. Un tortionnaire qui portait le nom même de son arme et dont l’existence était circonscrite au mal qu’il infligeait."
::: posted by Tranxenne at 1:43 PM
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