"Cet article nous invite à penser que nous ne servons à rien si toute notre prospérité ne nous permet pas de remettre dans la civilisation ce pays qui se fait un plaisir de refaire des femmes du bétail. Que si nous n’arrivons pas a dégager un minimum de la testostérone qui déborde dans nos banlieues, dans nos stades, dans nos routes, dans nos piquets de grève et un peu du pognon qui déborde de nos vitrines pour soulager le sort des femmes afghanes, nous sommes des moins que rien.
Ce qui dérange le plus les fondamentalistes qui se tuent pour nous tuer, c’est que chez nous les femmes sont libres. Si chez eux leurs femmes deviennent aussi libres que chez nous, leur monde s’écroule.
C’est d’une guerre contre les femmes dont il s’agit.
On a tendance à l’oublier."
N'hésitez pas non plus à aller faire un tour sur
Revolutionary Association of the Women of Afghanistan, le site d'où est tirée cette photo brutale.