"Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire." Houari Boumédienne, ancien président algérien, dans un discours à la tribune de l'ONU en 1974.
"Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats." Recep Tayyip Erdogan, premier ministre Turc, en 1997.
"Le monde entier doit devenir musulman. Aujourd'hui, ici à Tombouctou, nous rectifions l'histoire. Nous avons 50 millions de musulmans en Europe. Il y a des signes qui attestent qu'Allah nous accordera une grande victoire en Europe: sans épées, sans fusil, sans conquêtes. Les 50 millions de musulmans d'Europe feront de cette dernière un continent musulman. Allah mobilise la Turquie, nation musulmane, et va permettre son entrée dans l'Union européenne. Il y aura 100 millions de musulmans en Europe. L'Europe subit notre prosélytisme, tout comme l'Amérique. Elle a le choix entre devenir musulmane ou déclarer la guerre aux musulmans." Mouammar Kadhafi, actuel dirigeant libyen, en 2006.
Monsieur Shahid Malik, député britannique travailliste, ancien Secrétaire d’Etat à la Justice et actuel Secrétaire d’Etat aux Communautés et au Gouvernement local. La vidéo date d'octobre 2008.
"Voilà. C'est tout. C'est aussi simple que ça. Des peuples vont mourir, d'autres vont prendre leur place. Le pouvoir changera de mains. Pas de combat. Pas d'héroïsme. Pas de résistance. Seulement la démographie. Les ventres. La base de la base, le b.a.-ba.
Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas. Ou que c'est un fantasme d'extrême-drouââââte lepenistonazi. Vous ne pourrez pas non plus vous plaindre parce que votre liberté part en lambeaux. Parce qu'on ne peut plus boire d'alcool ou bouffer du cochon. Qu'on ne peut plus chanter, peindre ou écrire. Qu'on ne peut plus se promener dans la rue en mini-jupe sans risquer de gros ennuis. Qu'on ne peut plus se promener tout court sans devoir baisser les yeux, pour les moins bien lotis.
L'Europe entière commence tout juste à faire face à un phénomène absolument inédit dans son histoire : l'installation massive sur son sol de populations étrangères désarmées, globalement pacifiques, super-prolifiques et en inadéquation culturelle quasi-totale avec les peuples supposés les accueillir sans rechigner. Ces peuples - les plus anciennement installés sur ce territoire, c'est à dire "les nôtres" - ont vu leurs taux de natalité se stabiliser très logiquement suite à une hausse conséquente du niveau de vie. Les conséquences de ce chassé-croisé sont évidentes : les derniers arrivés vont, en l'espace de quelques décennies seulement, prendre le pas sur les premiers, pourtant installés là depuis des siècles.
Bref, je ne sais pas s'il est arrivé une seule fois dans l'histoire qu'un grand peuple se soit laissé remplacer aussi facilement. Sans se poser la moindre question. En riant. En se félicitant pour sa tolérance.
Nous sommes minables."
«Nous avons laissé la question de l’islam flotter trop longtemps, car nous sommes tolérants et bien paresseux. Il faut, de temps à autre, courir le risque de se voir coller une étiquette moins flatteuse, car il y a certaines choses pour lesquelles on ne doit pas montrer de tolérance.» Margareth II, reine du Danemark
Les Japonais font un pas de plus dans la virtualisation progressive de leur société. On se rappelle de ce brave homme qui avait lancé une pétition pour légaliser le mariage avec un personnage de manga.
Hatsune Miku, est une "chanteuse" virtuelle, originellement l'égérie du logiciel Vocaloïd 2. Un jeu vidéo dont elle est l'héroïne et qui s'appelle Project Diva est sorti. Également un album, Re: Package, dont 20000 exemplaires ont été vendus dès la première semaine et qui s'est hissé à la 5ème place de l'Oricon, le top50 nippon. Jusque-là rien de vraiment stupéfiant, les Japonais nous ont habitué à ce genre de phénomène.
La demoiselle en question.
Là où nous touchons au délire c'est que l’idol virtuelle, non contente de figurer parmi les meilleures ventes de disques, vient de donner un concert, un vrai, avec de vrais musiciens, mais sans "vraie" chanteuse, forcément. 25000 personnes se sont rendues à l’événement ! Ça laisse songeur. J'ai été déçu de constater que l'idol était tout simplement projetée sur un bête écran. Quoi ! Pas d'hologramme ? Pas d'interactivité ? Merde alors.
Vidéo quand même. Ne vous sentez pas obligés de la regarder en entier, moi-même j'ai pas tenu longtemps.
Quand on sait que 20% des Japonais déclarent désirer une liaison avec un personnage virtuel, on comprend mieux le pourquoi du comment (on se demande aussi ce qui les en empêche). Alors quoi, fin des idols en chair et en os ? Comme le dit Epikt : "C'est vrai que les idols virtuelles ont le bon goût de ne pas vieillir mais quand même".