Een post de nederland voor onze vriend Zhortrox wie kom hier soms
Hoi Ztx, hoe gaat het? Mijn nederlands zeer goed, zeer goed. Het uitlaat is in de keuken. Kerstmis is geen kikker. Een, twee, drei, veer, vijf, seis, zeven, acht, negen, tien en zo on...
Mag ik je naar huis begeleiden?
Ik ben spraken verdom sinds vroeger. Veronshuldingen mee ZhorTrox, dis post is stuupijd. Ik ben geen dronken maar ik voel me misselijk. De Heideroosjes is een goed punk groep. Zijn er nog frietjes?
Tinariwen (en touareg : « ⵜⵏⵔⵓ » ; du tamasheq, « les déserts », pluriel de : ténéré) est un groupe de musique originaire de Tessalit, au nord est du Mali, dans l'Adrar des Ifoghas.
Leur musique, assouf, qui signifie en tamasheq la solitude, la nostalgie, fait la synthèse entre le blues, le rock et la musique traditionnelle touarègue. C'est ce que l'on peut appeler le blues touareg, car comme le blues, il a été crée dans l'exil et la souffrance.
Les deux leaders du groupe sont Ibrahim ag Alhabib « Abraybone » et Alhousseini ag Abdoulahi « Abdallah », mais il faut considérer Tinariwen comme une grande famille d'artistes touaregs, un mouvement culturel et un courant musical. Les Tinariwen ne constituent pas une formation figée, les artistes y participent à leur guise.
On compte de très nombreux morceaux à leur actif, enregistrés sur des cassettes qui ont circulé dans le Sahara pendant la rébellion touarègue. En 1999, leur participation au Festival Toucouleur à Angers, sous le nom de Azawad, lance leur carrière en Europe, mais il faudra attendre 2004 avant que leur renommée n'atteigne une dimension internationale. Le groupe fait depuis figure d'ambassadeur des Touaregs à travers le monde grâce à leurs tournées en Europe, aux États-Unis, au Canada et en Asie. Leur troisième album Aman Iman, paru en 2007, a été, entre autres, disque d'argent en Grande-Bretagne.
C'est un des derniers single du Morning Musume, le 35ème pour être précis - le 39ème single, しょうがない 夢追い人 (Shouganai Yume Oibito), sortira le 13 mai prochain. Je vous le mets parce que euh... je l'aime beaucoup, voilà, et puis les filles y sont toutes à leur avantage, et c'est vraiment un euphémisme que de dire ça. C'est dingue comme elles deviennent toutes de plus en plus mignonnes avec le temps. C'est peut-être dû au fait qu'elles soient majeures maintenant ^^ Non mais sérieusement, regardez Takahashi Ai (0:38) par exemple. Elle est quand même devenu trop belle cette fille, merde. Et c'est valable pour toutes les autres bien sûr (mes préférées restent Risa Niigaki et Kamei Eri - dans cette génération du moins car aucune n'arrive à la cheville de Yaguchi Mari, partie en 2005). En plus bon toutes ces jupettes moi ça m'affole.
Une fois n'est pas coutume, je voulais vous parler de ma partie actuelle de Civilization4 - ah ! Civ, on ne s'en lasse pas ! - mais ce coup-ci, plutôt que de vous relater par le menu tous les hauts faits (et croyez-moi, ils sont nombreux) de mon peuple depuis le néolithique, un travail plus proche de l'exercice de propagande que du véritable exposé historique, je vais me concentrer sur un aspect du jeu trop souvent déprécié, j'ai nommé les corporations. Enfin, la corporation, la mienne, la belle, la grande, la toute-puissante Compagnie d'Exploitation Minière. En effet, j'ai pour la première fois réussi à utiliser une de ces organisations à but très lucratif de manière appropriée. Mais écoutez plutôt.
Washington, ma capitale. Une ville très productive et pourtant pas si peuplée que ça. Il faut dire que j'ai abusé de l'esclavage puis de la conscription durant cette partie.
La Compagnie d'Exploitation Minière (CEM) fut fondée en 1906 à Washington par Cai Lun, un ingénieur illustre autant que distingué. (Dans le monde réel, Cai Lun fut un haut fonctionnaire chinois auquel on attribue l'invention de la technique de fabrication du papier.) Très vite des liens vont se nouer entre le comité d'administration (CA) de l'entreprise et le gouvernement, c'est-à-dire moi. Il faut dire que, la présence de cette société dans mes villes développant leur production de manière significative, j'ai un intérêt tout particulier à la voir s'étendre et surtout prospérer. Dès sa création d'ailleurs, le CA me presse d'implanter des filiales dans douze nouvelles villes avant qu'une corporation rivale ne soit fondée à l'étranger. On me promet en cas de succès des profits multipliés, je m'attelle donc à la tâche et forme à Washington de nombreux agents commerciaux qui deviendront directeurs d'agence une fois installés dans mes villes de province.
Un agent commercial dont son environnement naturel.
Dans le même temps je me débrouille pour sécuriser - par l'extraction, l'achat, l'échange ou *tousse* la conquête *tousse* - le plus grand nombre possible de ressources exploitées par la CEM afin d'améliorer le rendement des filiales, qui coûtent toujours assez cher à implanter. Je remodèle totalement mes partenariats commerciaux en fonction de la disponibilité de ces ressources (cuivre, fer, charbon, or et argent) sur le marché mondial. Le nombre de filiales dépasse bientôt les douze et le CA m'annonce fièrement que les profits purement monétaires de la firme sont désormais majorés de 20%. Les actionnaires sont contents, moi aussi. Me voilà entretemps devenu l'acquéreur de la quasi-totalité des ressources minières mondiales, ce qui booste le bonus de production de chaque filiale de façon exponentielle : au lendemain de sa création, la CEM procurait un bonus de +5 en production à chaque ville dans laquelle elle était implantée. Ce bonus est passé à +15 une fois ces ressources acquises. Pour vous donner une idée, cela correspond à peu près au quart de la production totale de ma capitale, la plus développée de mes villes. Nous sommes en 1920, et tout va bien.
Go, US, go!
Ce n'est que bien des années plus tard que le CA va de nouveau frapper à ma porte. En effet, les Byzantins voisins ont fondé en 1936 les Constructions Créatives, une société commerciale similaire à la CEM, même si elle se spécialise plus dans le culturel que dans la production pure. Moi perso, ça ne me fait ni chaud ni froid : quand j'entends le mot culture... Ce qui inquiète le board c'est que cette entreprise exploite peu ou prou les mêmes ressources que la CEM. Mes partenariats commerciaux sont solides et les ressources bien sécurisées, pourtant le CA décide de frapper un grand coup et m'enjoint à m'approprier par tous les moyens les dernières ressources minières échappant encore à mon contrôle, en particulier de l'argent qui il est vrai fait un peu défaut sur les marchés internationaux. Autant peut en être dit de la production nationale, une seule source de ce métal précieux ayant été découverte sur notre territoire. On me promet encore une fois des profits faramineux en cas de réussite et l'appât du gain fait le reste. Je consulte mes cartes afin de situer les plus grands gisements d'argent, résolu à déclarer la guerre à toute civilisation les contrôlant, dans le but tout à fait altruiste de partager les richesses. En parcourant cette carte, cependant, je me rend compte qu'il existe au sud de chez le Byzantin un territoire non revendiqué et très fertile en minéraux riches. Évidemment c'est au milieu de nulle part, au coeur des neiges du grand Sud, dans une zone où le développement d'une ville est totalement impossible.
De l'argent... également du castor mais bon, ne nous égarons pas.
Peu importe, si cela me permet de faire l'économie d'une guerre à laquelle je ne suis pas préparé, je vais fonder une petite bourgade minière totalement dédiée à l'exploitation des richesses de son sous-sol. Je produis en vitesse un groupe d'implantation rapide composé d'un colon, de trois ouvriers, d'un missionaire taoïste pour propager directement ma religion dans cette ville afin de bénéficier de ses bonus, et bien entendu d'un directeur commercial de la CEM, le tout étant escorté par deux unités d'infanterie. Je traverse le territoire byzantin sans être inquiété - nous avons un accord de libre passage - et arrive bientôt sur place. Je fonde San Francisco et tout le monde se met au boulot. Je doute que l'endroit devienne un haut lieu du surf mais tant pis. Je construis dans la ville quelques bâtiments culturels en les payant comptant, afin de vite englober dans ses frontières toutes les ressources en argent qui se trouvent autour.
C'était mieux dans le dépliant touristique.
L'opération est un franc succès et la direction de CEM m'annonce que le chiffre d'affaire explose. Les bénéfices sont réévalués à 30% de mieux. Le bonus en production est lui passé à +18 grâce aux nouvelles ressources.
Beau travail les enfants.
Dans le même temps j'ai envoyé à Constantinople un espion dans l'espoir de saboter le siège de Constructions Créatives ou au moins d'infiltrer son personnel, peut-être même au niveau du comité d'administration, mais aucune de ces possibilités n'est offerte dans le jeu et c'est bien dommage. Tout au plus puis-je implanter ma propre corporation dans ses villes pour concurrencer les CC mais je répugne à le faire, ne désirant pas apporter au Byzantin un bonus productif que j'ai péniblement accumulé.
Mon espion en vacances à Constantinople.
Enfin voilà, jouer avec les corporations c'est vraiment fun mais ç'aurait été chouette de voir encore plus de possibilités, comme celles que je viens d'évoquer sur l'espionnage industriel.
À part ça, je construis en 1951 le Barrage des Trois Gorges. Take that, China!
Civilization 4 et son extension Beyond The Sword sont disponibles dans toutes les bonnes boulangeries.
La pub tue (slogan antipub témoignant d'une prodigieuse créativité, même un publicitaire aurait fait mieux)
Allez hop, parlons un peu d'une campagne de pub qui fait polémique en Allemagne. Comme sur le mur de laine de briques on n'a peur de rien je vais même vous mettre les photos qui dérangent les Allemands et irritent les Chinois. C'est une pub pour des capotes donc ça doit aussi énerver le Pape, cette agence de pub fait vraiment pas les choses à moitié. En plus le Pape est Allemand je vous raconte pas comme ça doit pas être la fête au Vatican en ce moment. Il doit pas faire bon être garde suisse ces jours-ci, ça c'est sûr. Ou alors Ben ze Sixteenth s'en tape complètement et il aurait bien raison d'ailleurs. C'est pas une pub de plus ou de moins qui va ébranler notre foi, n'est-ce pas les amis ? Trêve de bla-bla, place aux photos chocs.
En bleu derrière Adolf c'est Helmut Hitler, un grand peintre qui n'a jamais vu le jour.
Ici, derrière le barbu, un autre barbu : Mahomet ben Laden, la réincarnation de Mahomet ben Coran. On l'a échappé belle dites donc.Comme vous vous en doutez, c'est cette affiche qui a déclenché l'ire des Chinois. Ou bien de la Chine, en fait, je sais pas trop mais ça me paraît plus vraisemblable. Je doute que le peuple chinois porte Mao dans son coeur (ou peut-être bien que si, en fait). Alors que pour le gouvernement, c'est un symbole qu'il fait pas bon toucher. Et puis depuis quand le Chinois moyen a droit à la parole, hein ? Derrière le Chinois, un autre Chinois.
Je serais chargé de la com' au Vatican, je lancerais une contrepub avec les têtes de Beethoven, d'Einstein et de Jésus histoire de rendre coup pour coup. Cela pose néanmoins une grave question que je n'aurai de cesse d'avoir élucidé : les chargés de com' du Vatican sont-ils suisses ? Qu'en est-il des cordonniers ?